La réédition revue de Un piège sans fin d’Olympe Bhely-Quenum dans la collection du livre de poche s’imposait. Ce roman, en effet, est sans doute une des pièces maîtresses de la production de cet écrivain ; il s’agit, de toute façon, d’une uvre importante de la littérature negro-africaine. Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde, jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Evénement dérisoire : le fantasme ci une femme, mais tel est le piège qui fait qu’a l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique. Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres françaises, etc. Le quotidien belge le Soir écrivait : » Le romancier va bien au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme, sur sa solitude aussi, a quelque climat qu’il appartienne. «
Un Piège sans fin
8,90€
La réédition revue de Un piège sans fin d’Olympe Bhely-Quenum dans la collection du livre de poche s’imposait. Ce roman, en effet, est sans doute une des pièces maîtresses de la production de cet écrivain ; il s’agit, de toute façon, d’une uvre importante de la littérature negro-africaine. Ce roman, classique de forme, est celui d’une vie, celle d’un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde, jusqu’au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse. Evénement dérisoire : le fantasme ci une femme, mais tel est le piège qui fait qu’a l’harmonie succèdent l’absurde et l’errance, le chaos et le crime, pour s’achever dans le supplice et la mort. Symbole remarquable, c’est par le feu purificateur que périt cet innocent pathétique. Il a été salué en 1960 par un grand nombre de journaux dont l’Express, la Croix, la Réforme, Combat, les Lettres françaises, etc. Le quotidien belge le Soir écrivait : » Le romancier va bien au-delà du message des lieux grâce à sa formation intellectuelle et à la sûreté de son langage. L’écrivain prend pied dans le monde des âmes en nous narrant une aventure qui se charge progressivement d’une signification inattendue, et ce roman demeure une fenêtre ouverte sur la vie intérieure de l’homme, sur sa solitude aussi, a quelque climat qu’il appartienne. «
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