Récompensé par le Prix Virgilio Ferreira et le Prix Union latine de Littératures romanes, l’écrivain Mia Couto est le plus talentueux représentant de la littérature de l’Afrique lusophone. Renouant avec la veine libre et poétique de son premier roman, Terre somnambule, il poursuit sa quête des racines et d’une identité mozambicaine perdues, symbolisées par une langue métissée et un univers fantastique qui finit toute l’originalité de son uvre. Un étudiant revient, sur son île natale pour assister aux obsèques de sors grand-père. Entre la ville et l’île, le fleuve marque ce qui sépare, de manière concrète et symbolique, les temps nouveaux des temps anciens. Témoin, dans la maison familiale, d’étranges révélations, le jeune homme découvre peu à peu les mystères de la terre de ses ancêtres, en même temps qu’il clarifie les zones d’ombre de sa propre histoire… On retrouve dans ce roman, outre sa verve de conteur, les thèmes chers à Mia Couto : les ravages de la nécessaire décolonisation et le lent accouchement de l’indépendance du Mozambique.
Un fleuve appelé temps, une maison appelé terre
24,80€
Récompensé par le Prix Virgilio Ferreira et le Prix Union latine de Littératures romanes, l’écrivain Mia Couto est le plus talentueux représentant de la littérature de l’Afrique lusophone. Renouant avec la veine libre et poétique de son premier roman, Terre somnambule, il poursuit sa quête des racines et d’une identité mozambicaine perdues, symbolisées par une langue métissée et un univers fantastique qui finit toute l’originalité de son uvre. Un étudiant revient, sur son île natale pour assister aux obsèques de sors grand-père. Entre la ville et l’île, le fleuve marque ce qui sépare, de manière concrète et symbolique, les temps nouveaux des temps anciens. Témoin, dans la maison familiale, d’étranges révélations, le jeune homme découvre peu à peu les mystères de la terre de ses ancêtres, en même temps qu’il clarifie les zones d’ombre de sa propre histoire… On retrouve dans ce roman, outre sa verve de conteur, les thèmes chers à Mia Couto : les ravages de la nécessaire décolonisation et le lent accouchement de l’indépendance du Mozambique.
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