« Abandonnée, je vois passer devant mes yeux un cortège de terreurs. Lequel de mes deux hommes m’offrira une issue ? Olivier, avec son coeur fou qui ne lui laisse de répit ni jour, ni nuit ? Ou Marcel Arrens qui me fuit et que je me dois de fuir ? » On reconnaît, à travers Aména, la narratrice, la voix de Taos Amrouche qui dévoile dans ce roman la liaison amoureuse tourmentée qu’elle entretint avec un écrivain très célèbre et la rencontre avec son époux, le peintre André Bourdil. L’Amant imaginaire a paru en 1975, un an avant la mort de Taos Amrouche. « J’ai lu votre Amant imaginaire. C’est d’un pathétique bouleversant, en même temps que c’est la vie même. Je reçois beaucoup de manuscrits vous le savez, c’est le premier depuis dix ans d qui je trouve vraiment des qualités majeures. On plaint votre héroïne ; on se demande si on doit la plaindre, enfin, vous réussissez à nous mêler d sa vie, et bien qu’elle soit exceptionnelle on se figure la connaître comme si on l’avait côtoyée pendant des années. Enfin, bravo, voilà un maître-livre. Nous allons voir si les lecteurs sont intelligents… » Extrait d’une lettre de Jean Giono à Taos Amrouche.
L’amant imaginaire
20,80€
« Abandonnée, je vois passer devant mes yeux un cortège de terreurs. Lequel de mes deux hommes m’offrira une issue ? Olivier, avec son coeur fou qui ne lui laisse de répit ni jour, ni nuit ? Ou Marcel Arrens qui me fuit et que je me dois de fuir ? » On reconnaît, à travers Aména, la narratrice, la voix de Taos Amrouche qui dévoile dans ce roman la liaison amoureuse tourmentée qu’elle entretint avec un écrivain très célèbre et la rencontre avec son époux, le peintre André Bourdil. L’Amant imaginaire a paru en 1975, un an avant la mort de Taos Amrouche. « J’ai lu votre Amant imaginaire. C’est d’un pathétique bouleversant, en même temps que c’est la vie même. Je reçois beaucoup de manuscrits vous le savez, c’est le premier depuis dix ans d qui je trouve vraiment des qualités majeures. On plaint votre héroïne ; on se demande si on doit la plaindre, enfin, vous réussissez à nous mêler d sa vie, et bien qu’elle soit exceptionnelle on se figure la connaître comme si on l’avait côtoyée pendant des années. Enfin, bravo, voilà un maître-livre. Nous allons voir si les lecteurs sont intelligents… » Extrait d’une lettre de Jean Giono à Taos Amrouche.
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