Le Cheval

Aimer à en mourir serait le thème principal de la présente histoire.
Mais il en est d’autres comme la générosité, la modestie, la bonté aussi la fatuité, le caprice, l’arrogance et la déraison qui font qu’une civilisation périclite parce que l’amour de l’autre y est absent.
Dans la tragédie Richard III qu’il écrivit en 1592, W. Shakespeare fit dire au roi, qui voulut prendre la fuite à la bataille de Bosworth : « Un cheval ! Mon royaume pour un cheval ».
Pour Saïd, le héros, ce sera : « Mon pur-sang arabe pour le monde ! ».
Mais alors la question est de savoir où se situerait la valeur humaine qui, pourtant, devrait être au-dessus de toutes les autres ?