Cet ouvrage traite de la partie la moins connue de l’histoire du Fuuta Tooro, qui va de 1512 à 1807. C’est la première étude scientifique d’importance centrée sur cette période. Est abordé en premier lieu l’ancrage du Fuuta Tooro dans l’Ouest africain où il joue le rôle de réceptacle de toutes les influences socioculturelles de la zone soudano-sahélienne. Du XVIe au XVIIe siècle, l’empire constitué par Koli Tenella exerce une véritable hégémonie dans la région à la suite de l’effondrement de l’empire songhay et de l’éclatement de l’empire du Jolof. Une crise séculaire, née de l’essor de l’islam, de la poussée maure, de la présence européenne et de la traite négrière, aboutit à la chute du régime deeniyanke et au magistère d’Almaami Abdul. Cet ouvrage est d’un apport décisif sur les questions de chronologie, de mise en place du peuplement, des principaux facteurs d’évolution historique (islam, présence européenne et traite négrière). C’est donc une pièce maîtresse dans la connaissance de ce que le père Henry Gravand appelle à juste titre Le sanctuaire national.
La première hégémonie peule
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Cet ouvrage traite de la partie la moins connue de l’histoire du Fuuta Tooro, qui va de 1512 à 1807. C’est la première étude scientifique d’importance centrée sur cette période. Est abordé en premier lieu l’ancrage du Fuuta Tooro dans l’Ouest africain où il joue le rôle de réceptacle de toutes les influences socioculturelles de la zone soudano-sahélienne. Du XVIe au XVIIe siècle, l’empire constitué par Koli Tenella exerce une véritable hégémonie dans la région à la suite de l’effondrement de l’empire songhay et de l’éclatement de l’empire du Jolof. Une crise séculaire, née de l’essor de l’islam, de la poussée maure, de la présence européenne et de la traite négrière, aboutit à la chute du régime deeniyanke et au magistère d’Almaami Abdul. Cet ouvrage est d’un apport décisif sur les questions de chronologie, de mise en place du peuplement, des principaux facteurs d’évolution historique (islam, présence européenne et traite négrière). C’est donc une pièce maîtresse dans la connaissance de ce que le père Henry Gravand appelle à juste titre Le sanctuaire national.
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